Idée reçue N° 1 sur la transformation digitale : ça coute cher !

Comment calculer le retour sur investissement ?

23/09

Cela coute cher de passer au digital ! Souvent entendue, cette phrase n’a pourtant aujourd’hui plus de légitimité.Essayons comprendre pourquoi

Tout d’abord, La transformation digitale passe dans sa très grande majorité par l’utilisations de solutions utilisées en mode SAAS. (Solution As A Service – Solution comme un service). Il n’y a donc pas d’investissement à prévoir.

Néanmoins, le coût à l’usage ou prix à l’utilisation représente une charge pour les entreprises.

La notion de « prix élevé » est subjective. Tout un chacun, en fonction de son appétence pour les choses, de sa situation financière, voire de son approche psychologique de la situation peut se forger un avis différent.

Par contre en abordant la problématique du prix de la transformation digitale en comparant avec le bénéfice apporté, vous pourrez arriver à une décision rationnelle quant au prix. Cela signifie que vous allez pouvoir chiffrer les bénéfices et les mettre au regard du paiement à l’usage.

Tout d’abord, quel que soit le domaine analysé, il convient de se poser les questions de coûts liés à :

- La recherche de document en entreprise.

Les collaborateurs « cols blancs » passent en 20 et 40 % de leur temps à la recherche de document. Et il faut 18 minutes en moyenne pour trouver le document recherché. *

Ce point est facilement chiffrable en additionnant le temps de travail par collaborateur consacré à la recherche multiplié par le nombre par le nombre de collaborateurs et ainsi multiplié par le taux horaire.

Pour accompagner et mesurer chez vous l’incidence d’une transformation digitale, faites vous accompagner d’un expert dans la transformation digitale. L’équipe ACB agit en temps qu’assistant à la maîtrise d’ouvrage.

Mais au-delà de cette simple logique économique, la transformation digitale peut aussi être dictée par :

- Une mise en conformité avec les différentes lois.

- Une mise avant de la stratégie de votre entreprise d’aller de l’avant.

*étude du cabinet Coleman Parkes

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